Qu'il s'agisse de la pénurie de logements dans les grandes villes ou du rêve de devenir propriétaire... les commandes pour le secteur de la construction n'ont pas cessé, en particulier au cours de la dernière décennie, et elles ne cessent toujours pas. Mais le carnet de commandes n'est pas le seul facteur déterminant pour les futurs projets de construction : En raison du manque de main-d'œuvre qualifiée, de la pénurie de matériaux et de l'absence de progrès technologique, le boom continu de la construction pourrait bientôt prendre fin.
Un grand nombre de commandes qui ne peuvent pas être honorées. À quoi cela est-il dû ? D'une part, les entreprises sont confrontées au problème majeur de la pénurie de main-d'œuvre. La guerre en Ukraine entraîne actuellement la perte d'une grande partie des travailleurs d'Europe de l'Est. De plus, il y a un problème moins temporaire : alors que de nombreux professionnels partent à la retraite chaque année, il n'y a pas assez de jeunes pour prendre la relève dans le secteur.
Le manque de main-d'œuvre n'est toutefois pas la seule conséquence de la guerre : La Russie et l'Ukraine ne sont actuellement plus disponibles en tant que fournisseurs importants d'acier de construction et d'autres matériaux comme le bitume sont également touchés, car la production à forte consommation d'énergie devient de plus en plus chère en raison de la hausse des prix de l'énergie. Ces pénuries de livraison atteignent actuellement des valeurs maximales depuis 30 ans. Alors que dans le génie civil, environ 46 % des entreprises sont concernées, ce chiffre atteint même 54 % environ dans le bâtiment.
En outre, la hausse des taux d'intérêt pour les maîtres d'ouvrage, les règles de construction très strictes et les objectifs climatiques de la coalition "Ampel" aggravent la situation. Ce qu'il faut donc, ce sont des approches de solutions orientées vers l'avenir et augmentant l'efficacité, avec lesquelles les entreprises de construction peuvent faire face à la situation problématique.
Au cours du siècle dernier, le secteur de la construction s'est reposé sur son carnet de commandes particulier et a tardé à introduire des innovations numériques, qui sont pourtant indispensables aujourd'hui et surtout à l'avenir.
En raison de la pénurie de main-d'œuvre qualifiée et des retards dans la construction dus à des problèmes de livraison, il est d'autant plus important d'économiser du temps et donc des coûts. Car actuellement, environ un tiers du temps de travail ne contribue toujours pas à la création de valeur et engendre des coûts inutiles. Les solutions qui ont un effet immédiatement mesurable sur l'efficacité et les risques et qui n'impliquent pas d'interventions coûteuses dans les systèmes existants sont particulièrement demandées maintenant.
Les systèmes d'intelligence artificielle basés sur des caméras pour la documentation automatisée et la saisie de l'état d'avancement théorique et réel fournissent par exemple un effet immédiat mesurable sans aucun effort d'application. oculai est ici la première et la seule solution disponible sur le marché. Des caméras sont fixées sur des grues à tour afin d'extraire, à partir d'une perspective à vol d'oiseau, des données sur les différents processus de gros œuvre et sur la progression. La surveillance automatisée permet de comparer directement le statu quo et l'état souhaité, ce qui permet de faire de meilleures prévisions et de planifier les étapes suivantes. La collecte automatisée des données, combinée aux données vidéo, permet d'économiser environ 6 à 9 heures de temps par semaine par chef de chantier, et ce immédiatement et sans aucune application ou formation.
Si vous souhaitez en savoir plus sur la solution d'oculai, cliquez ici. Nous vous montrerons aussi volontiers en direct comment nous transformons vos chantiers avec des caméras intelligentes pour qu'ils soient prêts pour l'avenir. N'hésitez pas à nous contacter.
Sur le long terme, une chose est sûre : celui qui peut garantir la meilleure productivité sur le chantier avec des ressources limitées aura un avantage considérable.
